Événements
Concile d'Orléans.
En juillet 511, Clovis réunit un concile des Gaules à Orléans, qui prend fin le dimanche 10 juillet. Le concile rassemble trente-deux évêques, et est présidé par l'évêque métropolitain Cyprien de Bordeaux ; la moitié viennent du « royaume des Francs ». Les évêques métropolitains de Rouen et Tours sont présents mais pas celui de Reims. Les évêques de Gascogne sont absents à cause de troubles dans leur région mais également ceux de Belgique et de Germanie du fait du manque de pénétration de l'Église catholique romaine dans ces régions. Clovis est désigné « Rex Gloriosissimus fils de la Sainte Église catholique », par tous les évêques présents.(...)
Ce concile vise à remettre de l’ordre dans l’épiscopat du royaume des Francs, à faciliter la conversion et l’assimilation des Francs convertis et des ariens, à limiter les incestes (brisant ainsi la tradition germanique matriarcale des clans familiaux endogames), à partager les tâches entre administration et Église, à restaurer les liens avec la papauté.(...)
L’alliance de l’Église chrétienne et du pouvoir, qui a débuté avec le baptême du roi et qui perdure près de quatorze siècles, est un acte politique majeur qui se poursuit car les populations rurales, jusque-là païennes, de plus en plus christianisées, lui font davantage confiance.
Partition du royaume de Clovis.
À la mort de Clovis, ses fils Thierry, Clodomir, Childebert et Clotaire se partagent, conformément à la tradition franque, le royaume qu'il avait mis une vie à réunir.
L'essentiel de la Gaule ayant été soumis, sauf la Provence, la Septimanie et le royaume des Burgondes, son royaume peut donc être découpé en quatre parts, dont trois à peu près équivalentes. La quatrième, entre Rhin et Loire, est attribuée à Thierry, l'aîné des fils de Clovis, qui avait été compagnon des combats de son père et était né d'une union païenne avant 493. Elle est plus grande, puisqu'elle couvre environ un tiers de la Gaule franque.
Fin de la crise du monophysisme.
Le monophysisme est une doctrine christologique apparue au Ve siècle dans l'Empire byzantin en réaction au nestorianisme, et ardemment défendue par Eutychès et Dioscore d'Alexandrie. Elle affirme que le Fils n'a qu'une seule nature et qu'elle est divine, cette dernière ayant absorbé sa nature humaine.
Les Slaves sont mentionnés par Procope de Césarée en Bohême et en Moravie (496-512). Vers 560, ils dominent le pays, sans doute avec des restes de populations germaniques et celtes.
Le nom de Slaves est mentionné pour la première fois dès le Ier siècle apr. J.-C., Pline l'Ancien et Tacite parlent de Veneti (→ Vénètes), voisins orientaux des Germains. Au IIe siècle, Claude Ptolémée, tirant des informations des voisins méridionaux des Slaves, fait mention de Suovenoî, première apparition de la racine du mot « slave ». Il désigne des peuples Indo-Européens du Nord, proches des Baltes et des Germains sur le plan ethnolinguistique. Il est également possible que les Protoslaves aient été apparentés aux peuples Scythes. Avant cette date, ils n'étaient pas directement en contact avec l’Europe méditerranéenne : on suppose cependant que ce sont eux que Pline mentionne sous le nom de Vénèdes, probablement une forme latine du nom de Wendes que leur donnaient les Germains1. Mais les mentions sont très rares avant qu’ils soient connus sous le nom des Slaves qui signifie soit « les glorieux » (de Slava), soit « ceux qui parlent » (de Slovo).
Inde :
Mihirakula, fils de Toramâna, chef des Huns Blancs (Hephtalites) envahit l’Inde du Nord, ruine le royaume kusâna de Gandhara et détruit le royaume Gupta.
Mihiragula ou Mihirakula (Chinois: 大族王, japonais: Daizoku-o) est un souverain des Huns Hephthalites. Fils de Toramâna, c'est le fondateur du pouvoir des Huns en Inde. Il arrive au pouvoir vers 502. Son nom signifie « fleur du Soleil » en sanscrit classique.
Mihiragula est décrit dans le Voyage en Occident de Xuanzang (VIIe siècle) comme un bon dirigeant qui étend son pouvoir sur les royaumes environnants. Il est cité comme adorateur du dieu hindou Shiva dans une inscription du temple du soleil situé dans le territoire de Gwâlior. D'après la Râjataranginî, c'est un tyran d’une grande cruauté. En 528 il est vaincu par une coalition de royaumes indiens dirigée par Yashovarman (en), roi de Mâlvâ, il se réfugie alors au Cachemire dont il disparaît vers 542. Les Huns Hephtalites, retirés au Cachemire et au Panjâb, finissent par être assimilés, tout comme ceux qui sont restés en Inde centrale.
Le royaume Vakataka du Dekkan est démembré entre 515 et 550. Son pouvoir prend fin avec l'établissement de la dynastie Chalukya.
La dynastie Chalukya est une dynastie royale indienne qui règne sur une grande partie de l'Inde du Sud et centrale entre le VIe et le XIIe siècle.
La domination des Chalukyas marque une étape importante dans l'histoire de l'Inde du Sud et un âge d'or dans l'histoire du Karnataka. La carte politique de l'Inde du Sud passe d'une mosaïque de petits royaumes à un grand empire organisé avec l'ascension des Chalukyas Badami. Pour la première fois, un seul royaume contrôle la région entre les fleuves Kâverî et Narmadâ. La grandeur de cet empire entraîne la création d'une administration efficace, le développement du commerce intérieur et des échanges outre-mer et d'un nouveau style architectural dit « architecture Chalukya ». La littérature kannada, déjà soutenue par les rois Rashtrakuta au IXe siècle, trouve de nouveaux mécènes dans les Chalukyas occidentaux, notamment pour les traditions Jaïn et Veerashaiva. Le XIe siècle voit la naissance de la littérature Télougou sous le patronage des Chalukya orientaux.
Personnages significatifs
Amalaric (voir les années 500)
Anastase Ier (voir les années 490)
Cassiodore (voir les années 490)
Césaire d'Arles (voir les années 490)
Childebert Ier, « Combat brillant » en vieux francique, (né vers 497 à Reims - mort le 13 décembre 558 à Paris), fut Roi de Paris de 511 à 558 et roi d'Orléans de 524 à 558.
Concile d'Orléans.
En juillet 511, Clovis réunit un concile des Gaules à Orléans, qui prend fin le dimanche 10 juillet. Le concile rassemble trente-deux évêques, et est présidé par l'évêque métropolitain Cyprien de Bordeaux ; la moitié viennent du « royaume des Francs ». Les évêques métropolitains de Rouen et Tours sont présents mais pas celui de Reims. Les évêques de Gascogne sont absents à cause de troubles dans leur région mais également ceux de Belgique et de Germanie du fait du manque de pénétration de l'Église catholique romaine dans ces régions. Clovis est désigné « Rex Gloriosissimus fils de la Sainte Église catholique », par tous les évêques présents.(...)
Ce concile vise à remettre de l’ordre dans l’épiscopat du royaume des Francs, à faciliter la conversion et l’assimilation des Francs convertis et des ariens, à limiter les incestes (brisant ainsi la tradition germanique matriarcale des clans familiaux endogames), à partager les tâches entre administration et Église, à restaurer les liens avec la papauté.(...)
L’alliance de l’Église chrétienne et du pouvoir, qui a débuté avec le baptême du roi et qui perdure près de quatorze siècles, est un acte politique majeur qui se poursuit car les populations rurales, jusque-là païennes, de plus en plus christianisées, lui font davantage confiance.
Partition du royaume de Clovis.
Partage du royaume franc entre les quatre fils de Clovis. Grandes Chroniques de saint-Denis. Toulouse, bibliothèque municipale, France. This image (or other media file) is in the public domain because its copyright has expired.
La Gaule en 511, après le partage du royaume des Francs entre les fils de Clovis.Travail personnel sur un fond de carte de historicair : Image:Blank map of Gaul 1st century BC.svg. D'après Paul Vidal de La Blache, Monarchie franque à la mort de Clovis (511) Image:Division_of_Gaul_-_511.jpg et Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, éditions Fayard, 2008, p. 536. Attribution: Romain0 Domaine public
Fin de la crise du monophysisme.
Le monophysisme est une doctrine christologique apparue au Ve siècle dans l'Empire byzantin en réaction au nestorianisme, et ardemment défendue par Eutychès et Dioscore d'Alexandrie. Elle affirme que le Fils n'a qu'une seule nature et qu'elle est divine, cette dernière ayant absorbé sa nature humaine.
Les Slaves sont mentionnés par Procope de Césarée en Bohême et en Moravie (496-512). Vers 560, ils dominent le pays, sans doute avec des restes de populations germaniques et celtes.
Le nom de Slaves est mentionné pour la première fois dès le Ier siècle apr. J.-C., Pline l'Ancien et Tacite parlent de Veneti (→ Vénètes), voisins orientaux des Germains. Au IIe siècle, Claude Ptolémée, tirant des informations des voisins méridionaux des Slaves, fait mention de Suovenoî, première apparition de la racine du mot « slave ». Il désigne des peuples Indo-Européens du Nord, proches des Baltes et des Germains sur le plan ethnolinguistique. Il est également possible que les Protoslaves aient été apparentés aux peuples Scythes. Avant cette date, ils n'étaient pas directement en contact avec l’Europe méditerranéenne : on suppose cependant que ce sont eux que Pline mentionne sous le nom de Vénèdes, probablement une forme latine du nom de Wendes que leur donnaient les Germains1. Mais les mentions sont très rares avant qu’ils soient connus sous le nom des Slaves qui signifie soit « les glorieux » (de Slava), soit « ceux qui parlent » (de Slovo).
Inde :
Mihirakula, fils de Toramâna, chef des Huns Blancs (Hephtalites) envahit l’Inde du Nord, ruine le royaume kusâna de Gandhara et détruit le royaume Gupta.
Mihiragula ou Mihirakula (Chinois: 大族王, japonais: Daizoku-o) est un souverain des Huns Hephthalites. Fils de Toramâna, c'est le fondateur du pouvoir des Huns en Inde. Il arrive au pouvoir vers 502. Son nom signifie « fleur du Soleil » en sanscrit classique.
Mihiragula est décrit dans le Voyage en Occident de Xuanzang (VIIe siècle) comme un bon dirigeant qui étend son pouvoir sur les royaumes environnants. Il est cité comme adorateur du dieu hindou Shiva dans une inscription du temple du soleil situé dans le territoire de Gwâlior. D'après la Râjataranginî, c'est un tyran d’une grande cruauté. En 528 il est vaincu par une coalition de royaumes indiens dirigée par Yashovarman (en), roi de Mâlvâ, il se réfugie alors au Cachemire dont il disparaît vers 542. Les Huns Hephtalites, retirés au Cachemire et au Panjâb, finissent par être assimilés, tout comme ceux qui sont restés en Inde centrale.
Le royaume Vakataka du Dekkan est démembré entre 515 et 550. Son pouvoir prend fin avec l'établissement de la dynastie Chalukya.
La dynastie Chalukya est une dynastie royale indienne qui règne sur une grande partie de l'Inde du Sud et centrale entre le VIe et le XIIe siècle.
La domination des Chalukyas marque une étape importante dans l'histoire de l'Inde du Sud et un âge d'or dans l'histoire du Karnataka. La carte politique de l'Inde du Sud passe d'une mosaïque de petits royaumes à un grand empire organisé avec l'ascension des Chalukyas Badami. Pour la première fois, un seul royaume contrôle la région entre les fleuves Kâverî et Narmadâ. La grandeur de cet empire entraîne la création d'une administration efficace, le développement du commerce intérieur et des échanges outre-mer et d'un nouveau style architectural dit « architecture Chalukya ». La littérature kannada, déjà soutenue par les rois Rashtrakuta au IXe siècle, trouve de nouveaux mécènes dans les Chalukyas occidentaux, notamment pour les traditions Jaïn et Veerashaiva. Le XIe siècle voit la naissance de la littérature Télougou sous le patronage des Chalukya orientaux.
Personnages significatifs
Amalaric (voir les années 500)
Anastase Ier (voir les années 490)
Cassiodore (voir les années 490)
Césaire d'Arles (voir les années 490)
Childebert Ier, « Combat brillant » en vieux francique, (né vers 497 à Reims - mort le 13 décembre 558 à Paris), fut Roi de Paris de 511 à 558 et roi d'Orléans de 524 à 558.
Statue de Childebert Ier au Louvre. Le roi Childebert, fondateur de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés Attribution: Jebulon
Childebert était le quatrième fils de Clovis et le troisième des quatre que ce dernier eut avec Clotilde.
À la mort de son père, en 511, le royaume est divisé en quatre : l'aîné, Thierry en a la moitié et les trois fils de Clotilde se partagent la moitié restante. Childebert devient roi de Paris. Son royaume comprenait les cités de la future Normandie avec le Maine et le Bordelais au sud de la Loire. (à suivre...)
À la mort de son père, en 511, le royaume est divisé en quatre : l'aîné, Thierry en a la moitié et les trois fils de Clotilde se partagent la moitié restante. Childebert devient roi de Paris. Son royaume comprenait les cités de la future Normandie avec le Maine et le Bordelais au sud de la Loire. (à suivre...)
Clodomir ou Clodomer « Glorieux et grand », chlod (gloire) et mir, mer (grand) en vieux francique, est roi des Francs du royaume d'Orléans de 511 à 524. Il est né vers 495 et mort le 25 juin 524 à Vézeronce.À la mort de son père Clovis, en 511, Clodomir partage le royaume des Francs avec ses trois frères Thierry, Childebert et Clotaire. Thierry, l'aîné, bien que né d'une épouse de second rang, fut largement avantagé en raison du droit de la mère (Mutterrecht), une princesse franque rhénane. Clodomir partagea la moitié du royaume de Clovis avec ses deux autres frères. C'est le royaume d'Orléans, taillé dans l'ancien royaume de Syagrius qui lui échoit. Ce royaume fut le seul composé d'un seul bloc situé à cheval sur la Loire avec comme capitale Orléans, ville conciliaire en 533, 541, 549 et comportant notamment les évêchés de Tours, Poitiers, ainsi que les villes de Bourges et le Limousin. (à suivre...)
Clotaire Ier dit le Vieux, né vers 4981, mort le 29 novembre ou le 31 décembre 561, est un roi franc de la dynastie des Mérovingiens, fils de Clovis, roi des Francs, mort en 511. Clotaire devient roi de Soissons en 511, roi d'Orléans en 5243, roi des Burgondes en 534, roi de Metz en 555, roi de Paris en 558 ; de 558 à 561, il est seul à la tête du royaume des Francs réunifié comme sous le règne de Clovis.
Après la mort de Clovis survenue le 27 novembre 511, le royaume des Francs est partagé entre Clotaire et ses trois frères : Thierry Ier, Clodomir et Childebert Ier.
Tête de Clotaire Ier provenant de la crypte de l'abbaye Saint-Médard. Musée municipal de Soissons. Roi des Francs This image (or other media file) is in the public domain because its copyright has expired.
Saint Hormisdas, né à Frosinone près de Rome, mort à Rome, le 6 août 523, fut pape du 20 juillet 514 jusqu'à sa mort le 6 août 523.
Hormisdas Le 52e pape Hormisdas Pape de l’Église catholique http://www.fatimachurchkodambakkam.org/pope-6century.html This media file is in the public domain in the United States. This applies to U.S. works where the copyright has expired, often because its first publication occurred prior to January 1, 1923
Il se fit remarquer par son zèle contre les Eutychéens.
En matière de discipline ecclésiastique, il décréta que les charges d'Église ne devaient pas être attribuées en échange de privilèges ou de dons.
Son inhumation se fit dans l'ancienne basilique Saint-Pierre, à la suite de 9 ans et 15 jours de pontificat. Il est fêté le 6 août.
Justin Ier
Fondateur de la dynastie justinienne, Justin Ier dit le Grand est né en 450 ou 452 près de Niš; il devint empereur à un âge avancé le 9 juillet 518 et mourut le 1er août 527.
Justin Ier Empereur byzantin Profil de Justin Ier sur une pièce de monnaie Attribution: Classical Numismatic Group, Inc. http://www.cngcoins.com
Avec le règne de Justin s’éteint le vénérable empire romain d’Orient; avec celui de Justinien, nous assistons à une renaissance qui marque la naissance de l’empire byzantin.
Sigismond, fils de Gondebaud, vénéré comme saint, fut roi des Burgondes de 516 à 523.
Attaché à l'arianisme par sa famille, il se convertit au catholicisme entre 502 et 506 sous l'influence d'Avit, évêque de Vienne.
Sigismond, fresque sur le mur nord de la nef de l'église de la Trinité de Constance, peinte entre 1417 et 1437 Attribution: User:Fb78 This image (or other media file) is in the public domain because its copyright has expired.
Il devient roi à part entière après la mort de Gondebaud au printemps 516.
Marié vers 494 à Ostrogotha, fille du roi Ostrogoth Théodoric le Grand et devenu veuf, il se remarie dit-on, avec la servante de sa défunte femme dont le nom est inconnu en 518.
Ségéric, son fils a une violente dispute avec la nouvelle femme de son père. Elle va se plaindre à Sigismond en lui disant que son fils projette de le tuer, afin de joindre son royaume à celui de Théodoric dont il est le petit-fils par sa mère. Sigismond le fait étrangler pour l'éliminer de la succession royale. Mais, pris de remords, il s'enferme, dit-on, dans le monastère d'Agaune en Valais, pour prier et jeûner.
Clodomir supervise l'execution de Sigismond, roi de Burgondie (?). . Valenciennes, bibliothèque municipale, Manuscrit 637, fol. 14v. This image (or other media file) is in the public domain because its copyright has expired.
Thierry Ier ou Théodoric, né entre 485 et 490 et mort en 534, est le fils aîné du roi des Francs Clovis. Lors du partage du royaume des Francs qui suit la mort de son père, en 511, il hérite du nord-est et de l'Auvergne, avec Reims pour capitale.
« Thierri I. roy de France » par Jean Dassier (1676-1763). Buste du roi à gauche ceint d'une couronne. Bibliothèque nationale de France. Attribution: User Rinaldum on fr.wikipedia
Dans le partage de 511, bien que les sources insistent sur la caractère égalitaire des lots, en raison du droit de la mère (Mutterrecht), Thierry obtint « la part du lion ». Son Teilreich comprend l'ancienne Belgique première (avec Trèves), une partie de la Belgique seconde (avec Reims et Châlons), les deux Germanies (avec Cologne et Mayence) et, par-delà, une large ouverture sur les territoires alamans sur lesquels les Francs, depuis les campagnes de Clovis et la chute du royaume de Cologne, exercèrent une sorte de protectorat. Au nord, l’ancienne cité de Tongres parut constituer une sorte de zone-tampon où l’influence des Francs rencontra celle des Thuringiens et probablement celle des Warnes. S’y ajoutent l’Auvergne et une frange orientale de l’Aquitaine, conquises par Thierry pour son père lors de la guerre contre les Wisigoths en 507/508, avec les cités de Clermont, Le Puy, Cahors, Albi, Rodez, sans doute Limoges, peut-être Javols.(à suivre...)
Wikipédia
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